mardi 11 août 2009

Ludovique fan-art


Barbara Canepa a ouvert un sujet sur CaféSalé pour faire des fan-art.
Bon, c'est pas trop mon truc en général mais j'aime bien l'univers érotico-pop de leur BD.
Alors une fois n'est pas coutume.

9 commentaires:

Matt!! a dit…

C'est trop beau !!!!
Ses seins plaqués comme ça...mon dieu!!!
Enfin il n'y a pas que ça de bien...l'encre qui sort des main c'est trop bien pensé !!!
Bravo

kness a dit…

ben oui voilà, meilleur fanart :) c'est beau :)

Step a dit…

ils sont beaux ses pitits pieds délicats :D

erwannbrun a dit…

Matt, l'encre qui sort des mains c'est pas de moi, j'ai repris une scène tirée de la BD, un des miracles bidons de la prêtresse Ludovique, quant aux seins... nous sommes restés de grands enfants :)

Kness, meilleur... l'avenir nous le dira. Moi perso je voterais pour la poupée en tissu qui est vraiment très drôle (j'ai oublié le nom de l'auteur).

Step, des petits pieds pleins d'amour ;)

Luc ADR a dit…

j'aime tout particulierement ces teintes violettes au niveau des pieds avec tout le travail graphique.
Arg de rigueur.

weekly a dit…

encore un dessin de macho

weekly a dit…

encore une fille enchaînée et blessée, d'ailleurs la première chose qui a été remarquée c'est les "seins plaqués comme ça". En tant que fille je n'y vois pas seulement de la sensualité mais aussi de la violence.

erwannbrun a dit…

Macho : violent et coercitif ?
Dans le fond tu as raison, surtout pour la violence.
Elle est là d'une façon latente ou parfaitement visible. Mais il ne faut pas lire que la violence dont serait victime la fille.
Il y a aussi celle dont elle est capable et que son train arrière indique clairement : pattes griffues de prédateur.

Pour ce qui est du machisme, il implique je crois un certain mépris pour la femme. Ca je ne le partage pas.
Ou alors il faudrait mépriser l'homme de la même manière (ce qui peut être tentant).

Pour revenir à la violence, comme à la souffrance, on n'en fait pas l'économie et je ne ferai moi pas l'impasse dessus. C'est une dimension que nous rencontrons au quotidien, qui nous structure autant qu'elle nous détruit.

Comme le désir, et sœur jumelle, une pulsion forte qui nous permet d'avancer jusqu'à ce que...

weekly a dit…

Ah je comprends mieux.